Agatha Raisin enquête 2 - Remède de cheval (M. C. Beaton)

lundi 24 juin 2019

004142837.jpgAgatha Raisin s'est finalement acclimatée à la vie campagnarde et savoure sa nouvelle existence à Carsely dans son cottage en compagnie de ses deux chats. L'arrivée d'un nouveau vétérinaire séduisant dans le village va de surcroît pimenter son quotidien, jusqu'au jour où celui-ci décède dans de bien mystérieuses circonstances.

Si j'ai un peu moins aimé ce deuxième opus des enquêtes d'Agatha Raisin, c'est, je pense, en grande partie parce que j'ai trop étalé sa lecture dans le temps. C'est typiquement le genre de roman "facile" qu'il faut lire d'une traite ou presque, sous peine de se lasser et/ou de décrocher.
Ceci étant, j'ai quand-même passé un bon moment et bien ri de certaines frasques de notre chère héroïne.
Une lecture feel-good, pas prise de tête, qui fait son job.
Et bien entendu, je lirai la suite !

Titre original : The vicious vet
Traduit de l'anglais par  Esther Ménévis
Albin Michel, 270 pages, 1993 pour l'édition originale et 2016 pour l'édition française

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La cage dorée (Camilla Läckberg)

vendredi 14 juin 2019

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Présentation de l'éditeur :

Un mari parfait, une fille adorable et un appartement de luxe dans l’un des quartiers les plus chics de Stockholm, Faye semble tout avoir. Mais de sombres souvenirs de son enfance à Fjällbacka la hantent et elle se sent chaque jour un peu plus prisonnière d’une cage dorée. La femme forte et ambitieuse qu’elle était autrefois a tout abandonné pour Jack. Lorsqu’il la trahit, son univers s’effondre. Du jour au lendemain, elle se retrouve sans rien. D’abord complètement anéantie, elle décide de rendre coup pour coup et se met à échafauder une vengeance impitoyable.

Alors oui, ce roman est un peu "facile" et les clichés ne manquent pas. Par ailleurs, l'intrigue n'est pas non plus extraordinaire et on se doute assez rapidement de l'issue du récit.
Cela dit, j'ai pour ma part passé un très bon moment de lecture avec La cage dorée.  J'ai aimé cet univers glauque, détester Jack et ressentir de l'empathie pour Faye, jubiler en découvrant ce qu'elle met sur pied pour se venger.
Une lecture certes légère mais qui m'a divertie, et je n'en demandais pas davantage.

Titre original : En bur av guld
Traduit du suédois par Rémi Cassaigne
Actes Sud (Actes Noirs), 352 pages, 2019 pour l'édition originale et la traduction française

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Agatha Raisin enquête 1 - La quiche fatale (M. C. Beaton)

mercredi 12 juin 2019

9782226317322-475x500-1.jpgAlors qu'elle dirigeait une affaire florissante, Agatha Raisin décide sur un coup de tête de prendre sa retraite anticipée et de quitter Londres pour s'installer à la campagne dans un village tranquille des Costwolds.
Seulement, après avoir mené une vie trépidante à la city, le changement s'avère pour le moins radical et Agatha commence à s'ennuyer sérieusement. Heureusement, le quotidien paisible va se retrouver bouleversé lorsqu'un habitant du village meurt dans d'étranges circonstances...

La série Agatha Raisin est présentée comme une série policière, mais je doute qu'elle plaise aux puristes du genre. C'est en effet plutôt une comédie légère avec un soupçon d'enquête policière en prime.
Pour ma part, je me suis régalée avec ce premier tome et j'ai adoré le personnage d'Agatha, caustique à souhait. Une héroïne qui a beaucoup de défauts mais n'en est que plus attachante. 
C'est une lecture légère et très drôle qui fait un bien fou !

Titre original : The quiche of death
Traduit de l'anglais par  Esther Ménévis
Albin Michel, 324 pages, 1992 pour l'édition originale et 2016 pour l'édition française

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Killer Game (Stephanie Perkins)

vendredi 26 avril 2019

006196138.jpgJe ne connaissais l'auteure que de nom, mais attirée par cette couverture (pour l'anecdote, j'ai réalisé seulement à la fin de ma lecture qu'il y avait une tête de mort dessus !) et désireuse de lire un roman à frissons, j'ai eu envie de découvrir celui-ci.

Présentation de l'éditeur :

Osborne est une petite ville du Nebraska où tout le monde se connaît, pas vraiment le cadre rêvé pour une adolescente! Mais avec ses amis, Alex la cynique et le très protecteur Darby, Makani s'y plaît. Sans parler d'Ollie, le garçon solitaire dont elle aimerait beaucoup se rapprocher... Tout bascule lorsque les élèves de son lycée se font assassiner les uns après les autres. Pour éviter de devenir une proie, Makani va devoir affronter un terrible secret. Qui a dit qu'il ne se passait jamais rien à Osborne ?

Ce que j'ai apprécié dans ce roman, c'est qu'il se lit vite et de manière fluide. Dès la première page, on plonge dans l'histoire et on enchaîne les chapitres sans s'en rendre compte. Killer Game n'est quand même pas un "page turner", mais c'est un roman agréable à lire. J'avais envie d'un thriller un peu psychologique avec une ambiance façon Scream et c'est exactement ce que j'ai eu. 
Bien sûr, comme ce titre est paru en jeunesse, il faut garder à l'esprit qu'il est dédié à un public adolescent et que les passionnés de polars et thrillers n'y trouveront donc peut-être pas leur compte. Pour ma part, c'était suffisant sur l'instant, et j'ai trouvé dans Killer Game ce que j'y cherchais, ni plus ni moins.
Un bon moment avec quelques frissons en prime !

Titre original : There's someone inside your house
Traduit de l'anglais par Isabelle Troin
Gallimard Jeunesse, 387 pages, 2017 pour l'édition originale et 2019 pour l'édition française

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Jefferson (Jean-Claude Mourlevat)

mercredi 18 avril 2018

005357307.jpgJe ne rate jamais une nouveauté de l'un des mes auteurs chouchous, Monsieur (avec un grand M) Jean-Claude Mourlevat.
Aucun de ses textes ne m'a  jusqu'à présent déçue, et chacun d'entre eux m'a apporté quelque chose. Cet auteur est un virtuose de l'écriture, capable de passer d'un genre à l'autre tout en conservant son propre style.

Avec Jefferson, il repart explorer les terres de la littérature de jeunesse en offrant aux jeunes lecteurs un livre sensible et intelligent. Comme dans La ballade de Cornebique (je m'aperçois que je n'ai pas chroniqué ce merveilleux livre, quel dommage !), les personnages de l'histoire sont des animaux, mais la comparaison s'arrête là, car les deux histoires n'ont rien d'autre en commun. Ici, l'auteur puise dans les codes du roman policier, mais l'on s'aperçoit rapidement que c'est un roman multiple qui ne se réduit pas à une simple enquête (afin que mes propos ne soient pas mal interprétés, je précise que je ne réduis évidemment pas le genre policier à des romans construits uniquement sur une enquête !). L'histoire, qui, au départ, semble assez légère, prend une direction pour le moins inattendue. A travers ces personnages mignons et candides, l'auteur fait passer des messages importants, notamment sur la cause animale, en particulier sur le traitement des animaux dans les abattoirs. Si Jefferson est donc un roman que l'on peut qualifier d'engagé, il n'en demeure pas moins que l'écriture est résolument orientée jeunesse et que l'histoire reste à la portée de ce lectorat. Pour ma part, bien qu'étant adulte, j'ai adoré ce texte que j'ai trouvé remarquablement écrit. Rien que pour cela, j'aime la plume de cet auteur qui ne prend pas les enfants pour des êtres idiots et incultes et leur offre de la vraie littérature. Le ton est malicieux et tendre en surface, mais la teneur des messages portés par ce roman n'en est que plus sérieuse. On passe un superbe moment en compagnie de Jefferson le hérisson et des ses acolytes, on est diverti tout en réfléchissant à un sujet grave.
Un magnifique roman illustré avec talent par Antoine Ronzon, presque un coup de coeur.
Et, cerise sur le gâteau, une sublime couverture réalisée par Lisa D'Andrea (avec des effets de brillance pour représenter la pluie qui tombe).

Ils remontaient dans leur chambre quand l'employé de la réception les interpella, le sourire aux lèvres et l’œil rigolard :
- Alors, cette soirée Scrabble ?
Peut-être pensait-il que ces drôles de clients savaient à peine lire et écrire.
- C'était très bien, répondit Jefferson, merci.
- Vous avez trouvé des mots très longs ?
- Oui, j'ai trouvé SOLIDARITÉ.
- Ah, pas de Z, pas de W, ça ne doit pas rapporter des masses.
- Si, fit Jefferson, ça peut rapporter beaucoup. Bonne nuit, monsieur.

Gallimard Jeunesse, 263 pages, 2018

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Le dernier lapon (Olivier Truc)

samedi 3 février 2018

004651616.jpgLe dernier lapon est le premier tome d'une trilogie mettant en scène les enquêtes de la police des rennes en territoire Sami. 

L'histoire se déroule au mois de janvier en Laponie. Les jours sont encore très courts, le soleil vient à peine de faire son retour après plusieurs semaines d'obscurité. Un éleveur de rennes, Mattis, vient d'être assassiné et ses oreilles tranchées. Dans le même temps, un tambour de chaman a été volé. La communauté est émoi et Klemet et sa nouvelle coéquipière, Nina, policiers de la brigade des rennes, vont être mis sur l'affaire.

Ce roman policier m'a laissé un sentiment mitigé. Certains éléments m'ont énormément plu, d'autres moins. Je m'attendais à lire un polar à la sauce nordique avec une enquête et des rebondissements, comme dans tout roman du genre. Or, par moments, j'ai eu le sentiment que ladite intrigue policière n'était presque plus qu'un prétexte pour parler de la Laponie, qu'elle passait pour ainsi dire au second plan. A plusieurs reprises, j'ai eu l'impression d'être entrain de lire un essai, et non pas un roman. Et je crois que cela m'a gênée, car au final, Le dernier lapon n'est ni tout à fait un essai, ni tout à fait un roman policier, c'est un hybride qui navigue entre les deux et m'a laissée perplexe. Car, si j'ai trouvé extrêmement intéressant tous les développements autour de l'Histoire et des traditions de la Laponie, ils m'ont aussi donné le sentiment de casser le rythme du roman et je les ai principalement perçus comme des longueurs qui entravaient le récit. Par ailleurs, l'intrigue policière en elle-même ne m'a pas spécialement convaincue.
Reste que j'ai particulièrement aimé l'ambiance polaire, la culture Sami que je découvrais, et les personnages chiadés. 
Olivier Truc possède des connaissances et un style qui font du Dernier lapon un très bon roman, même si je n'y ai pas complètement adhéré. Malgré ma légère déception, je vous le conseille car c'est un livre qui ne laisse pas indifférent et vaut le détour. 

Points (Policiers), 570 pages, 2012 pour la présente édition

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Le dompteur de lions (Camilla Läckberg)

mercredi 14 décembre 2016

9782367622101-001-X_0.jpegDéjà le neuvième tome de cette série policière que j'aime tant !
Nous sommes en hiver, une jeune fille à demi nue est retrouvée dans la forêt après s'être fait percuter par une voiture. A l'hôpital, on constate qu'elle a été torturée de manière atroce. Patrik Hedström qui est en charge de l’enquête va rapidement faire le lien entre cette affaire et d'autres disparitions de jeunes filles depuis deux ans. De son côté, Erica Falck est plongée dans l'écriture d'un nouveau livre consacré à une vieille affaire. 

Retour sur un sujet récurrent dans l'oeuvre de Camilla Läckberg, la maternité et l'instinct maternel. Sujet qu'elle traite à merveille, flirtant toujours avec les limites et parvenant à faire frissonner le lecteur.
Cette nouvelle enquête est passionnante quoique son dénouement m'a semblé plus prévisible que dans les précédents tomes. Pour une fois, je n'ai pas été bluffée jusqu'à la dernière page.
J'ai le sentiment de redire les mêmes choses d'un tome à l'autre, mais l'auteur possède un véritable talent de narration et son écriture est addictive.
Comme toujours, vivement la suite !

Texte intégral lu par Jean-Christophe Lebert
Durée totale d'écoute : 13h12
Audiolib, 2016

Mma Ramotswe détective (Alexander McCall Smith)

lundi 11 juillet 2016

86a190e0-ed28-4e8a-9a84-051bf4438a01.jpgPour la forme, je classe ce livre dans la catégorie "Policiers", mais en réalité, ne vous méprenez pas, il relève davantage de la catégorie romans.

Je n'avais encore jamais lu cet auteur, que j'ai donc découvert avec ce premier volet des aventures de Mma Ramotswe, première femme détective du Botswana.

A la mort de son père, et au moment d'hériter de lui, Precious Ramotswe décide d'ouvrir une agence de détectives. De fil en aiguille, diverses affaires se présentent à elle, qu'elle parvient à résoudre en s'appuyant sur sa logique et son sens de l'observation. 
Comme je le disais en préambule, ce n'est pas la partie "policière" qui est pertinente ni même intéressante, mais tout simplement le cadre du roman. Imaginez-vous à l'ombre d'un robinier sirotant un thé rouge tandis qu'une rafale de vent soulève la poussière du Kalahari... Le fond de l'histoire n'a finalement que peu d'attrait, mais c'est cette atmosphère dépaysante et ce décor fascinant qui emportent le lecteur dans un voyage extrêmement plaisant.
Si l'on ajoute à cela le personnage de Mma Ramotswe, une femme intelligente qui sait ce qu'elle veut, on a là un roman qui fait passer un fort agréable moment.

Néanmoins, si la balade fut sympathique, je n'éprouve pas le besoin de poursuive cette série et m'en tiendrai donc à ce premier tome.

Titre original : The N°1 Ladies' Detecive Agency
Traduit de l'anglais par Elisabeth Kern
10/18 (Grands détectives), 249 pages, 2003 pour la traduction française, 1998 pour la version originale

La carrière du mal (Robert Galbraith)

dimanche 3 juillet 2016

9782367621920-001-X_0.jpegTroisième volet de la désormais célèbre série qui met en scène le détective Cormoran Strike, et toujours aussi bon que les précédents, voire même meilleur, c'est dire !
Comme je l'ai lu en version audio, une précision : nous retrouvons pour ce nouveau tome le lecteur du premier, l'excellentissime Lionel Bourguet. J'avais déjà indiqué dans ma chronique de L'appel du coucou combien j'aime son timbre et sa diction, je le redis aujourd'hui, car vraiment sa lecture est parfaite. Pour moi dorénavant, Cormoran Strike a sa voix, et j'espère qu'Audiolib continuera d'enregistrer la suite de la série avec lui !

Un matin en arrivant à l'agence, Robin, l'associée de Strike, réceptionne un colis macabre qui contient la jambe d'une femme. Point de départ de ce nouveau roman. Quatre noms de suspects potentiels viennent aussitôt à l'esprit de Strike qui va replonger malgré lui dans son passé pour démêler les fils de cette enquête impromptue. 
L'originalité de ce nouveau tome, c'est qu'il met à l'honneur les chansons du groupe Blue Oyster Cult dont les paroles parsèment l'intégralité du roman (y compris le titre !) comme une sorte de fil conducteur. 

J'ai beaucoup aimé, que dis-je, j'ai adoré La carrière du mal et je suis passée très près du coup de coeur.
J'ai tout aimé dans ce tome. C'est  un roman rythmé, prenant, addictif, dans lequel on plonge dès les premières pages avec l'envie toujours renouvelée de connaître la suite. L'intrigue est bien menée, on reste dans la veine classique du polar, mais c'est une fois encore maîtrisé et la plume de Galbraith est un vrai régal. J'aime par-dessus tout les personnages de Robin et Strike et leur relation. On en apprend d'ailleurs davantage dans ce tome sur Strike qui se révèle vraiment fascinant. 

Encore un excellent moment avec le troisième tome de cette série qui devient un peu pour moi le pendant de celle de Camilla Läckberg, version britannique. 

Vivement la suite ! L'attente va être longue, surtout après le dénouement de ce troisième opus !

Texte intégral lu par Lionel Bourguet
Traduit de l'anglais par Florianne Vidal
Audiolib, juin 2016
Durée totale d'écoute : 19h06

Millénium #4 ~ Ce qui ne me tue pas (David Lagercrantz)

lundi 1 février 2016

81YaBlv0sPL.jpgLe regretté Stieg Larsson nous ayant quitté il y a quelques années, sa géniale série Millénium s'était arrêtée au bout de trois tomes alors même qu'il avait commencé à écrire la suite... 

Quand j'ai appris qu'un autre auteur allait poursuivre la série, j'ai crié comme beaucoup de fans au scandale, mais c'est bien connu, y a que les cons qui ne changent pas d'avis... Il me fallait absolument en juger par moi-même et lire ce tome 4.

Présentation de l'éditeur :

La revue Millénium a changé de propriétaires. Ses détracteurs accusent Mikael Blomkvist d’être un has-been et il envisage de changer de métier.
Tard un soir, Blomkvist reçoit un appel du professeur Frans Balder, un chercheur de pointe dans le domaine de l’IA, l’intelligence artificielle. Balder affirme détenir des informations sensibles qui concernent le service de renseignement des Etats-Unis. Il a également été en contact avec une jeune femme, une hackeuse hors du commun qui ressemble à s’y méprendre à une personne que le journaliste ne connaît que trop bien.
Mikael Blomkvist espère tenir enfin le scoop dont Millénium et lui ont tant besoin. Quant à Lisbeth Salander, fidèle à ses habitudes, elle suit son propre agenda.

Alors qu'en ai-je pensé ? Et bien, très sincèrement, j'ai aimé ! Certes, ce nouveau roman n'a pas le souffle des précédents, il est un peu "sage" par rapport à la trilogie initiale, mais c'est un bon roman policier. 
L'intrigue est un peu légère, moins de suspense et de rebondissements que précédemment, une écriture un peu différente aussi de celle de Stieg Larsson, forcément, il fallait s'en douter. On ne pouvait pas s'attendre à retrouver exactement l'essence de l'oeuvre originale.
Et pourtant, j'ai trouvé que David Lagercrantz n'avait pas à rougir de cette suite. On sent qu'il a fait tout son possible pour coller un maximum à l'univers de Larsson, et franchement c'est pas mal réussi. J'ai aimé retrouver les personnages, un peu comme une famille qu'on a perdue de vue quelques temps... C'était bon d'être de nouveau parmi eux. Finalement je n'en demandais pas davantage et globalement j'ai apprécié ce roman. 
Il faut le prendre pour ce qu'il est, à savoir une suite à Millénium écrite par un autre auteur. Et dans ce contexte, c'est bon et bien écrit, alors donnons-lui sa chance pour la suite.

Sur le site de l'éditeur Actes Sud, vous pourrez lire les premières pages du roman.

Texte intégral lu par Emmanuel Dekoninck
Audiolib, 2015
Durée totale d'écoute : 16h15

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