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lundi 29 août 2016

La confrérie de la dague noire T12 ~ L'amant souverain (J. R. Ward)

82e8c335-eae9-4e2f-9a2d-071f1bb7ee1d.jpgVous allez me dire qu'une série qui a dépassé les dix tomes, ça ne fait pas très envie, et quelque part vous n'aurez pas tort. Est-ce parce que j'ai traîné ce roman tout l'été que j'ai eu ce sentiment ? Toujours est-il que j'ai trouvé ce tome bien en-dessous des autres... Déjà, l'idée de refaire un roman sur le personnage de Kolher, j'avoue que je n'ai pas bien saisi l'intérêt. Du coup, on a affaire au premier livre de la série dans lequel il n'y a pas d'histoire de conquête amoureuse et de séduction. En effet, Kolher ayant déjà trouvé sa moitié, la thématique du bouquin va tourner autour du désir de maternité de Beth. Et clairement, ce n'est pas passionnant. Une fois encore, comme c'est le cas depuis quelques tomes, j'ai nettement préféré les histoires secondaires portant sur d'autres personnages. 
En résumé, j'ai lu L'amant souverain sans déplaisir mais il m'a globalement déçue et je me demande s'il marque un tournant dans la série ou s'il s'agit d'une erreur de parcours de l'auteur... 

Titre original : The king
Traduit de l'américain par Eléonore Kempler
Milady, 766 pages, 2014 pour l'édition originale, 2015 pour la traduction française

dimanche 8 février 2015

La confrérie de la dague noire T11 ~ L'amant désiré (J. R. Ward)

1411-confrerie11_org.jpgJe me moque à chaque nouveau tome des titres donnés à cette série mais je dois dire que  celui-ci est approprié ! Cela faisait un bye que j'attendais la sortie en poche de ce onzième opus et puis comme d'habitude j'ai encore attendu avant de le lire... bref !
Si le précédent ne m'avait pas enthousiasmée, celui-ci m'a pleinement réconciliée avec la série. Consacré au couple Vhif et Blay, c'est le premier tome de la série à mettre en scène une relation gay. Comme j'aime beaucoup ces deux personnages, j'étais impatiente de les voir enfin ensemble depuis le temps... La conquête a été longue mais quel plaisir de voir ces deux-là concrétiser et s'avouer enfin leurs sentiments. Bon, comme ils ne sont pas très loquaces, le lecteur doit faire preuve de patience et voudrait bien par moments leur donner un coup de pied dans le derrière, mais tout vient à point à qui sait attendre, n'est-ce pas ?!
Globalement c'est un tome très réussi, équilibré entre l'histoire principale et les histoires secondaires, puisque l'auteur a pris le parti depuis maintenant quelques tomes de dérouler le fil de plusieurs histoires en même temps. Personnellement j'aime bien, même si je dois reconnaître que cela génère aussi des moments de frustrations.
Voilà, j'ai retrouvé avec bonheur ma série-chouchou et j'ai adoré la relation entre Blay et Vhif. Un bon cru !

Titre original : Lover at last
Traduit de l'américain par Eléonore Kempler
Milady, 766 pages, 2013 pour l'édition originale, 2014 pour la traduction française

jeudi 11 septembre 2014

La confrérie de la dague noire T10 ~ L'amant ressuscité (J. R. Ward)

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Ce dixième opus est consacré à Thorment, frère endeuillé depuis un an et ramené au bercail par l'ange Lassiter. Thorment pleure sa shellane assassinée et n'est plus que l'ombre de lui-même. 

J. R. Ward reste fidèle à elle-même dans ce nouveau tome et tout ce que j'ai pu écrire au sujet des précédents est valable également ici. Plus d'éradiqueurs, désormais le côté obscur tourne autour d'une bande rivale de vampires, ce n'est pas pour me déplaire, c'est plus intéressant et ça annonce un tournant dans la série. Les histoires secondaires sont encore une fois (je me répète mais c'est pourtant vrai) plus prenantes que la principale et ce tome se conçoit comme une suite des précédents. Depuis maintenant quelques tomes, il y a un réel fil conducteur et les romans ne sont plus si isolés les uns des autres même si ils peuvent toujours se lire indépendamment. L'histoire de Thor est sympathique mais il m'a un peu cassé les pieds avec son côté pleurnicheur égocentré... J'ai super hâte par contre de lire le tome prochain consacré à Vhif et Blay, depuis le temps que les deux mâles se tournent autour, il risque d'y avoir des étincelles !
Sinon, j'ai apprécié comme toujours l'écriture, les dialogues truffés d'argot, le côté rentre-dedans des frères, l'humour et la complicité au sein de la confrérie. C'est une série qui ne démérite pas pour l'instant.

Titre original : Lover Reborn
Traduit de l'américain par Eléonore Kempler
Milady, 823 pages, 2012 pour l'édition originale, 2012 pour la traduction française

vendredi 27 septembre 2013

La confrérie de la dague noire T9 ~ L'amant déchaîné (J. R. Ward)

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Décidément, qui l'eut cru, j'en suis déjà au neuvième tome et je ne suis pas encore lassée ! Bon, bien sûr, je reste lucide, il y a bien des choses qui m'agacent dans cette série, mais je continue de la trouver agréable à lire et divertissante. Je ne lui en demande pas davantage et elle me satisfait de ce point de vue-là pour le moment, du moins.
Ce tome-ci est consacré à Souffhrance, jumelle du guerrier Viszs, lui-même héros du tome 5 (non, je ne retiens pas par coeur ces informations capitales, je viens simplement d'aller vérfier !!). Viszs est l'un de mes personnages préférés depuis le début de la série, aussi je partais confiante. Bon, force est de reconnaître que sa soeur n'a pas son charisme, mais personne n'est parfait.
C'est une constante depuis quelques tomes, je vous le répète à chaque fois, mais ce tome ne fait pas exception, les histoires secondaires se sont révélées plus intéressantes que la principale. Par contre, immense point positif, il n'est pas question des éradiqueurs dans ce volume. Si, si, vous avez bien lu, pas d'éradiqueurs dans ce tome, n'est-ce pas merveilleux ?! Toutefois, malgré leur absence remarquée (et appréciée !), force est de constater qu'il y a malgré tout des longueurs dans ce roman. 
Et comme dans les précédentes histoires, j'ai été très intéressée par l'histoire de Vhif et Blay, j'ai vraiment hâte de lire le tome qui leur sera consacré.

Titre original : Lover Unleashed
Traduit de l'américain par Eléonore Kempler
Milady, 669 pages, 2011 pour l'édition originale, 2012 pour l'édition française

lundi 5 août 2013

La confrérie de la dague noire T8 ~ L'amant réincarné (J. R. Ward)

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J'ai repris cette série au début de l'été après l'avoir délaissée quelques temps. Les retrouvailles se firent avec Vhengeance. Cette fois-ci, nous retrouvons John et Xhex. J'étais curieuse de découvrir la relation entre ces deux-là, lui le guerrier muet au coeur tendre, elle la sympathe froide comme la glace. Force est de constater qu'une fois encore, et ce depuis quelques tomes déjà, l'auteur brille davantage par ses histoires secondaires que par la principale. Le duo Xhex-John manque un peu d'attrait, et finalement le récit qui m'a passionné, c'est celui de Blay et Vhif ! 
On notera que les passages avec les éradiqueurs sont moins pénibles que lors des tous premiers tomes, que les dialogues et réparties n'ont pas perdu de leur saveur, que les métaphores sont toujours aussi tordues et improbables.
Ce tome 8 se lit bien mais souffre toutefois de quelques longueurs. J'ai hâte de me pencher sur la suite, que j'espère meilleure.

Titre original : Lover Mine
Traduit de l'américain par Marie Chabin
Milady, 756 pages, 2010 pour l'édition originale, 2012 pour l'édition française 

mercredi 12 juin 2013

La confrérie de la dague noire T7 ~ L'amant vengeur (J. R. Ward)

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Voilà bien longtemps que j'avais mis en pause cette série et puis d'un coup, l'envie m'a prise de m'y remettre. Septième tome, donc, qui est consacré à Vhengeance. Rappelons que Vhengeance est le patron du Zero Sum, le bar qui tient lieu de QG pour les frères de la confrérie, du moins ceux qui n'ont pas une Shellane qui les attend à la maison. Car le Zero Sum, ce n'est pas le troquet du coin où l'on va boire un café avant d'aller au travail, non, c'est un établissement où l'on trouve de la drogue et des prostituées. On imagine donc aisément le profil du patron, homme d'affaires richissime mais dont l'éthique n'est pas toute vierge. J'étais fort curieuse de découvrir l'histoire de ce personnage, espérant un volume aussi réussi que celui consacré à Zadiste, bad boy d'un autre genre. Et je me dois d'avouer que j'ai été assez déçue car Vhengeance manque de charisme à mon goût et se révèle, contre toute attente, un peu trop lisse. 
Encore une fois, à l'instar du précédent tome, l'intérêt du roman porte sur les histoires secondaires. Il faut croire que, dorénavant, la série évoluera dans se sens, à savoir une véritable continuité d'un tome à l'autre et non plus un centrage quasi exclusif de l'intrigue sur un seul couple à chaque fois. Ce tournant n'est pas pour me déplaire car les romans n'en sont que plus riches mais en revanche, je déplore la baisse d'intensité au niveau de l'histoire centrale.
Quelques longueurs aussi pour ce tome sept qui m'a moins tenue en haleine que les précédents. Pour autant, je reste séduite par cette série qui continue de me plaire. 

Titre original : Lover avenged
Traduit de l'américain par Eléonore Kempler
Milady, 841 pages, 2009 pour l'édition originale, 2012 pour l'édition française 

dimanche 23 septembre 2012

Anges déchus T1 ~ Convoitise (J. R. Ward)

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Anges déchus est la nouvelle série de J. R. Ward traduite en français. Une série qui devrait compter sept tomes et dont 3 sont déjà sortis aux Etats-Unis. 

7 pêchés capitaux, 7 âmes à sauver, en voilà le principe.
Jim Heron est un mortel presque comme les autres qui a été choisi par les anges et les démons pour décider du sort de l'humanité.  Sa mission : 7 âmes à sauver ou à damner, selon l'orientation choisie. La première est celle de Vin Di Pietro, un entrepreneur richissime qui ne vit que pour l'argent. 

Je me suis empressée de lire ce roman peu après sa sortie, espérant y retrouver ce qui m'avait séduite dans la série de La confrérie de la dague noire. Malheureusement, ce premier tome ne m'a pas vraiment emballée. Si j'y ai retrouvé le style de l'auteur qui me plaît tant, je n'ai en revanche pas adhéré à l'histoire. Une intrigue tirée par les cheveux, des longueurs inutiles, une absence de sensualité, un héros qui ne m'a pas fait le moindre effet, bref, on était loin du pouvoir d'attraction des vampires auquel Ward nous a habitués. 
Je ne sais pas encore si je continuerai la série, à voir. 

Titre original : Covet
Traduit de l'américain par Marianne Feraud
Milady, 544 pages, 2009 pour l'édition originale, 2012 pour l'édition française

mercredi 14 mars 2012

La confrérie de la dague noire T6 ~ L'amant consacré (J. R. Ward)

Tome 6 consacré à Fhury, le tome qui m'a aidé à survivre à la grippe alors que j'étais entrain d'agoniser dans mon lit... Moins bon que le précédent mais tout de même intéressant. Bon, les passages sur les éradiqueurs ça me sort par les trous de nez, je ne supporte plus donc je les lis en diagonale, mais je ne ne pense pas avoir raté grand chose. Pour ce qui est des vampires en revanche, des passages extras sur les personnages secondaires de ce tome, notamment concernant Blay et Vhif. Je ne veux pas spoiler, mais j'ai été très émue par ce qu'on apprend à leur sujet et j'avoue que du coup, mon intérêt s'est porté naturellement vers eux (ainsi que John) et moins vers Fhruy et Cormia. Il faut dire que dans ce sixième tome, la tension amoureuse n'est pas à son paroxysme et les scènes coquines le sont moins que d'habitude ! Ward nous avait habitués à mieux ! Et puis franchement Fhury, à part fumer de l'herbe rouge, il ne fait pas grand chose. Cormia n'est pas non plus très charismatique et son passe-temps favori (réaliser des constructions avec des petits pois et des cure-dents, je vous le jure, je n'invente rien, moi je ne fume pas d’herbe rouge !) a achevé de me désintéresser d'elle ! Comment l'auteur a eu une idée aussi farfelue et ridicule, je ne me l'explique pas, si quelqu'un  a compris quelque chose qui m'aurait échappé, qu'il n'hésite pas à m'éclairer de ses lumières, il aura mon éternelle reconnaissance.
Bref, vous l'aurez compris, les histoires secondaires prennent le pas sur l'intrigue principale dans ce sixième tome et ma foi de ce côté-là c'est riche et très agréable à lire. Pour ce qui est de l'histoire d'amour en revanche, peu mieux faire. Rendez-vous pour le tome sept !

Titre original : Lover enshrined
Traduit de l'américain par Eléonore Kempler
Milady, 672 pages, 2008 pour l'édition originale, 2011 pour l'édition française

mardi 15 novembre 2011

La confrérie de la dague noire T5 ~ L'amant délivré (J. R. Ward)

Qui l'eut cru ? Je m'étais juré que l'on ne m'y prendrait plus, que quatre tomes cela suffisait amplement, que j'avais mieux à lire, blablabla, la rengaine habituelle du lecteur qui prend peur devant sa PAL tentaculaire.
Et puis voilà, le tome 5 m'est tombée entre les mains (et non pas tombé des mains !), plus le choix, je me devais de le lire !
Et je ne regrette pas. Du tout. Parce que figurez-vous que Viszs m'a autant séduite que ce cher Zadist, voire davantage. Si ! Incredible, isn't it ?
Bon, comme je suis atteinte de fémingite aiguë mais que j'ai pitié de vous, pour une fois je fais un copier-coller de la présentation de l'éditeur :

Une guerre fait rage à l’insu des humains. Six vampires protègent leur espèce contre la Société des éradiqueurs. Ils sont regroupés au sein de la mystérieuse Confrérie de la dague noire. Impitoyable et brillant, Viszs est doté d’un pouvoir de destruction incroyable et d’une aptitude terrifiante à prédire l’avenir. Torturé par son passé, il ne fait pas dans les sentiments. La lutte contre les éradiqueurs est sa seule passion… jusqu’au jour où il croise la route du docteur Jane Whitcomb. Tout pourrait changer grâce à elle, mais Viszs est rattrapé par un destin incompatible avec celui de la jeune humaine…

Dans ce tome on est à la croisée d'Urgences et de Dracula. Voilà qui est bien réducteur et caricatural, mais il y a de ça tout de même. Et puis quand on ouvre un tome de La confrérie, on s'attend à la caricature, pire, on aime ça ! Contre toute attente, alors que j'avais peur de m'ennuyer, de lire un énième tome identique aux précédents, j'ai trouvé ce cinquième tome très réussi. Je pensais avoir lu le meilleur, mais je crois que je lui ai préféré celui-ci. Peut-être parce que c'est un tome qui se démarque des autres.
D'abord parce qu'il n'y a plus de chapitre entiers consacrés aux éradiqueurs, tout au plus quelques allusions, et franchement le lecteur ne s'en porte que mieux ! Ensuite parce que pour une fois, le roman n'est pas exclusivement centré sur son héros mais s'intéresse également aux autres guerriers. Du coup on poursuit sa découverte de l'univers de la confrérie et ce n'est pas pour me déplaire. Enfin, comme c'était déjà un peu le cas pour Zadist, mais là de façon plus marquée, il y a dans ce tome de nombreux flashbacks sur le passé de Viszs. Il faut s'attendre à des révélations étonnantes dans L'amant délivré qui m'ont prise par surprise.
Décidément, j'aime les personnages blessés et cassés, les mal-aimés, ce qui souffrent, ils m'attirent, que voulez-vous ! Et dans ce registre, je peux vous dire que Viszs excelle ! Mais que la gent féminine se rassure, il ne perd pas pour autant de sa sexytude. Mesdames, Viszs a tout ce qu'il faut là où il faut et l'on a notre lot habituel de scènes torrides ! 

Bref, un roman bien ficelé, des personnages toujours aussi charismatiques, un style qui fait recette et me voilà de nouveau en mode dépendance, si c'est pas malheureux !

Le billet d'Azilys et celui d'Azilis

Titre original : Lover unbound
Traduit de l'américain par Laurence Murphy
Milady, 672 pages, 2007 pour l'édition originale, 2011 pour l'édition française

dimanche 9 janvier 2011

La confrérie de la dague noire T4 ~ L'amant révélé (J. R. Ward)

Ce quatrième tome de la série est consacré à Butch qui a la particularité d'être un humain (jusque-là, rappelez-vous, les tomes précédents s'attachaient aux guerriers vampires de la confrérie). Contrairement à mes camarades, j'étais plutôt contente à l'idée de retrouver ce personnage auquel je me suis attachée depuis le début. Butch est un cliché vivant du flic qui a mal tourné mais qui aime son job, qui s'est coupé de sa famille, qui ne trouve pas l'âme soeur et noie ses états-d'âme dans l'alcool. Un portrait pas très reluisant vous en conviendrez, mais moi il me plaît ce type cassé par la vie !
Et ce nouveau tome m'a convaincue qu'il en avait sous le capot (excusez pour la métaphore à caractère hautement poétique, mais que voulez-vous, c'est un peu à l'image des romans de Ward !), le bougre !
Bref, on reprend le même schéma et on recommence, le type ultra costaud, dévoué à ses frères, bête de sexe mais qui a la malchance d'avoir jeté son dévolu sur la belle qui semble ne pas vouloir de lui.

Un peu de lassitude transparaît dans ce billet ? C'est normal, en réalité si je n'ai pas boudé mon plaisir avec L'amant révélé, j'ai ressenti un peu d'ennui. Disons qu'il n'aurait pas fallu que j'enchaîne avec un autre tome. C'est comme la crème de marrons, c'est délicieux, mais à la petite cuillère,  si vous sortez la louche vous êtes écoeurés, vous voyez l'image ?! Bref, disais-je, pas trop de surprise dans ce nouveau tome, enfin quand-même une mais je ne vous dirai rien ! 
Voilà, j'aime cette série, c'est clair, mais je ne voudrais pas me lasser... Ceci étant dit, j'ai apprécié encore une fois l'humour présent dans les dialogues, les personnalités de ces mâles imposants et bien sûr les scènes interdites au moins de 18 ans ! 

Le tome suivant sortira le 18 février prochain et s'intitulera L'amant délivré, il me reste donc un mois pour changer d'univers avant de me replonger dans les aventures de la Confrérie, parce qu'on ne se refait pas, je serai au rendez-vous !

C'est toujours une lecture commune avec Azilis, Azilys et Mariiine et on remet ça le mois prochain !




Titre original : Lover revealed
Traduit de l'américain par Elisabeth Luc
Milady, 542 pages, 2007 pour l'édition originale, 2010 pour l'édition française

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