BIBLIOTHEQUE › Littérature générale

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Sauveur & fils ~ Saison 7 (Marie-Aude Murail, Constance Robert-Murail)

lundi 24 juillet 2023

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Présentation de l'éditeur :

À la fin de la saison 6, nous avons laissé Sauveur et Louise dans l’attente de leur futur enfant. Gabin, revenu pour les vacances de Noël, semble amoureux d’Alice, la fille de Louise. Grégoire, un petit orphelin de 4 ans dont la mamie vient d’être opérée du cœur, est provisoirement chez Sauveur et il aimerait bien ne jamais quitter le 12, rue des Murlins. Lazare, le fils de Sauveur, est devenu végétarien, tandis que Paul, le fils de Louise, expérimente la cigarette et la vodka. Ils sont dans la même classe de 5e. Quand la saison 6 s’achève, nous sommes en décembre 2018. Il ne vous aura pas échappé que depuis il nous est arrivé « un truc de ouf », comme diraient les jeunes patients de Sauveur. Il paraissait difficile, voire impossible, de reprendre la plume sans en tenir compte. Sauveur serait trop loin de nous, alors qu’il a été pour nous un compagnon de route. Nous sommes donc au mois de novembre 2021, presque trois ans plus tard, et bien des choses se sont passées au 12, rue des Murlins…

***

Quel plaisir de lecture et quel bonheur  chaque fois renouvelé de replonger dans l'écriture de Marie-Aude Murail et en particulier dans la série de Sauveur & fils. Dès les premières lignes on est embarqué, on se sent comme de retour à la maison, on est confortable, en terrain familier.
C'est drôle, subtil, intelligent, bref c'est une valeur sûre en littérature et je ne m'en lasse pas.
Y aura-t-il une suite ? Je l'ignore, mais si c'est le cas, je serai bien entendu au rendez-vous.

L'école des loisirs (Médium +), 313 pages, 2023

La vallée arc-en-ciel (Lucy Maud Montgomery)

vendredi 21 juillet 2023

IMG_20230419_133124.jpgPrésentation de l'éditeur :

Les six enfants d’Ingleside grandissent sous l’œil bienveillant de leur mère Anne, qui saura les réconforter, les encourager, mais aussi rire de leurs espiègleries. La Vallée arc-en-ciel est le terrain de toutes les explorations, et qui de mieux comme compagnons de jeu que cinq petits brigands récemment installés à Glen St Mary ? Voici le septième volume des aventures d’Anne Shirley !

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Septième volume de la saga consacrée à Anne de Green Gable. Celui-ci est principalement centré sur les enfants de Anne, qui est à présent mère d'une nombreuse progéniture.
On retrouve - avec bonheur - chez ses fils et ses filles ses propres traits de caractère. De petites bêtises en gros chagrins, d'aventures en moments de complicité, le quotidien auprès des Blythe n'est jamais ennuyeux !
Un tome tout aussi plaisant à lire que les précédents avec sa juste dose d'humour et d'émotion. 

Titre original : Rainbow Valley
Traduit de l'anglais par Laure-Lyn Boisseau-Axmann
Monsieur Toussaint Louverture (Monsieur Toussaint Laventure), 317 pages, 1919 pour l'édition originale et 2023 pour la présente édition française

Anne d'Ingleside (Lucy Maud Montgomery)

mercredi 12 avril 2023

Anne-d-Ingleside-Nouv-trad-tome6-Anne-aux-pignons-verts.jpgPrésentation de l'éditeur :

Désormais parents d’une charmante petite tribu, Anne et Gilbert ont quitté le cocon de Four Winds et entament un nouveau chapitre de leur vie dans une maison délicieusement patinée : la chaleureuse Ingleside, couvée d’arbres qu’on ne couperait pour rien au monde et où ne tardent pas à germer les bourgeons de l’affection.

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Retrouvailles avec la série-doudou qui me réchauffe le cœur à chaque nouveau tome.
Sixième volume (il ne m'en reste plus que deux à lire, snif !), toujours dans la sublime réédition de Monsieur Toussaint Louverture.
On fait un bond en avant dans le temps avec Anne d'Ingleside dont le récit démarre quelques années après la fin du précédent tome. Anne et Gilbert sont à présent les heureux parents d'une nombreuse progéniture qui a hérité en partie de la personnalité de leur mère. Aussi imaginatifs et inventifs, ils traversent l'enfance entre petits bonheurs et tracas. Nous suivons donc désormais la nouvelle génération et le talent de Lucy Maud Montgomery demeure intact. Elle a ce don pour raconter les petits évènements du quotidien, pénétrer dans l'âme des personnages, enfants comme adultes.
C'est à la fois drôle, beau et touchant.
Une délicieuse lecture.

Titre original : Anne of Ingleside
Traduit de l'anglais par Patricia Barbe-Girault
Monsieur Toussaint Louverture (Monsieur Toussaint Laventure), 352 pages, 1939 pour l'édition originale et 2022 pour la présente édition française

Blizzard (Marie Vingtras)

lundi 20 février 2023

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Le blizzard fait rage en Alaska.
Au cœur de la tempête, un jeune garçon disparaît. Il n'aura fallu que quelques secondes, le temps de refaire ses lacets, pour que Bess lâche la main de l'enfant et le perde de vue. Elle se lance à sa recherche, suivie de près par les rares habitants de ce bout du monde. Une course effrénée contre la mort s'engage alors, où la destinée de chacun, face aux éléments, se dévoile.
Avec ce huis clos en pleine nature, Marie Vingtras, d'une écriture incisive, s'attache à l'intimité de ses personnages et, tout en finesse, révèle les tourments de leur âme.

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Ce huis clos si particulier est haletant, les pages défilent, on découvre tour à tour l'histoire de chacun des protagonistes et ce qui les relie. L'écriture est efficace et sans fioriture, dans un style direct et percutant qui sert le récit.

Un premier roman réussi. 

Editions de l'Olivier, 192 pages, 2021

Les MacCoy T5 et T6 (Alexiane Thill)

lundi 23 janvier 2023

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Pendant près de trente ans, Lachlan O'Connor a été le garant de l'ordre en Écosse, le défenseur du Code auquel les Clans se soumettent pour éviter que leurs conflits ne dégénèrent en bains de sang. Mais alors que l'affrontement entre Campbell et MacLeod s'intensifie, le Trèfle doit admettre qu'il est dépassé par les évènements. Son autorité remise en question, il voit l'œuvre de sa vie au bord de l'effondrement. Et ça, c'est sans compter un nouveau problème qui vient s'ajouter à la longue liste de ceux qu'il doit gérer : le retour de Megan MacCoy à Édimbourg...
Megan a laissé le système clanique et son titre d'héritière derrière elle pour offrir à sa fille, Catherine, une vie stable. Mais quand son passé la rattrape jusqu'à Londres, elle n'a pas d'autre choix pour protéger sa famille que de se tourner vers Lachlan, dans l'espoir qu'il lui vienne une nouvelle fois en aide afin de disparaître.
Cependant, ces retrouvailles rouvrent de nombreuses blessures, et déclenchent une série de conséquences que ni Megan ni Lachlan n'auraient pu anticiper. Alors que l'Écosse vacille au bord du chaos, échapperont-ils au pire ?

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Ce cinquième tome m'a laissé sensiblement la même impression que le précédent. A savoir, le plaisir de retrouver cet univers particulier, mais un sentiment de frustration concernant l'intensité du récit. C'est comme si la trilogie du départ formait une histoire à part. Les tomes 4 et 5 sont différents et moins centrés sur l'aspect romance.
Autre différence notoire dans ce cinquième opus, le cliffhanger de fin qui appelle immédiatement le tome suivant, là où les précédents pouvaient se lire indépendamment les uns des autres.
J'ai passé un bon moment de lecture même si je n'ai que moyennement accroché avec les personnages de Lachlan et Megan. Peut-être se révèleront-ils plus attachants dans le dernier volume de la série.

Les MacCoy T5 - Le trèfle et l'agneau
Hugo (Poche), 358 pages, 2022

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Le Code n'est plus.
Par la faute d'Henry Campbell, l'Écosse a basculé dans le chaos. Rien ne semble plus pouvoir entraver la marche du duc d'Argyll vers le pouvoir... Rien, sinon des tentatives désespérées.
Mais Phèdre et Caleb sont au pied du mur : la guerre doit connaître une issue. Ils n'ont plus d'autre choix que de braver tous les dangers, pour sauver ceux qu'ils aiment, pour offrir à leur fils Xander l'avenir radieux dont ils osent encore rêver.
Alors que leurs terres se gorgent de sang, le Clan MacCoy se prépare pour son dernier combat.

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Ce dernier tome s'avère bien différent des précédents dans sa construction. Comme il clôt la série, il met en scène l'ensemble des personnages rencontrés depuis le début. On les passe donc tous en revue successivement au fil des chapitres. En a résulté un sentiment de frustration pour ma part car, de fait, on ne passe que peu de temps avec chacun/chacune.
Par ailleurs, il me faut avouer que j'ai ressenti un certain ennui lors de cette lecture. L'enchaînement des scènes de bataille ne m'a pas intéressée outre mesure. A vrai dire, je n'ai rien retrouvé des éléments qui m'ont fait aimer - que dis-je, adorer - la série des MacCoy dans les trois premiers volumes.
Un final sympa, mais sans plus.

Les MacCoy T6 - La reine et le clan
Hugo (Poche), 396 pages, 2022

Ceux qui restent (Jean Michelin)

mercredi 18 janvier 2023

511-2gAnruL._SL500_.jpgPrésentation de l'éditeur :

Comme chaque matin, l'aube grise se lève sur l'immuable routine de la garnison. Mais cette fois, Lulu manque à l'appel. Lulu, le caporal-chef toujours fiable, toujours solide, Lulu et son sourire en coin que rien ne semblait jamais pouvoir effacer, a disparu. Aurélie, sa femme, a l'habitude des absences, du lit vide, du quotidien d'épouse de militaire. Elle fait face, mais sait que ce départ ne lui ressemble pas.
Quatre hommes, quatre soldats, se lancent alors à sa recherche. Ils sont du même monde et trimballent les mêmes fantômes au bord des nuits sans sommeil. Si eux ne le retrouvent pas, personne ne le pourra.
D'une actualité brûlante, cette intrigue intensément déroulée par la plume de Jean Michelin et porté par la voix de Pierre Hancisse, suit l'enquête de ces frères d'armes. Histoire poignante de camaraderie, de celle qui lie les êtres sous les vestes de treillis, ce roman sans concession se penche sur ce que la guerre fait à ceux qui partent, à ceux qui reviennent. À ceux qui restent.

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En toute franchise, ce roman est une légère déception. Une fois n'est pas coutume, je me suis laissée influencer par les avis dithyrambiques des lecteurs, et je m'attendais donc à un livre génial, magistral.
Or, ce n'est pas ce que j'ai ressenti à sa lecture. J'ai trouvé la construction de l'histoire bien ficelée, l'écriture plaisante, l'émotion présente. J'ai aimé découvrir cet univers, la vie des militaires, les frères d'armes. C'était bien écrit et intéressant.
J'ai trouvé ce roman réussi, mais pas transcendant ni marquant.
Et puis je n'ai pas saisi le sens - et l'intérêt - de la révélation finale qui a mon sens gâche la fin du récit. Si quelqu'un qui a lu ce livre veut bien me donner son interprétation, ce serait fort aimable !

Texte intégral lu par Pierre Hancisse
Lizzie, 2022
Durée totale d'écoute : 05h51

Les désarrois de Ned Allen (Douglas Kennedy)

vendredi 30 décembre 2022

511mPe8GVwL._SL500_.jpgCoupDeCoeur2016.pngPrésentation de l'éditeur :

New York. Ses tours gigantesques, son fourmillement perpétuel. Ned Allen, et son extraordinaire bagout, s'y est fait une place. Si sa femme et lui vivent un peu au-dessus de leurs moyens, ils ne s'en inquiètent pas : le talent permet tout.

La situation de Ned, responsable de ventes publicitaires, ne peut que s'améliorer. Mais le destin ne ménage pas ses coups. Quand une vague de licenciements tombe, Ned est du nombre. À la rue, il ne peut qu'accepter la proposition malhonnête d'un ami d'enfance. Quitte à emprunter, entre les tours, un chemin qui a tout d'une impasse...

***

Décidément, avec Douglas Kennedy, on n'est pas à l'abri d'une bonne surprise. Le dernier titre de lui que j'ai lu m'a déçue, et celui-ci s'est révélé être un coup de cœur !
J'ai embarqué d'emblée dans ce récit hypnotique. On assiste entre incrédulité et horreur à la descente aux enfers d'un type qui nous semble proche et suscite une profonde empathie.
La spirale infernale et implacable dans laquelle Ned Allen se retrouve pris au piège est proprement effrayante, et en même temps elle a quelque chose de fascinant. On se demande quand et si cela va s'arrêter, comment Ned va rebondir et s'il va seulement s'en sortir.
L'écriture est ultra prenante et immersive, la lecture se fait en apnée.
Magistral.
Mon dernier coup de cœur de 2022.

Titre original : The Job
Texte intégral lu par Adrien Larmande
Durée totale d'écoute : 13h05

Lizzie, 2019

La ferme des animaux (George Orwell)

lundi 14 novembre 2022

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Quand les animaux de la ferme du Manoir, las des abus, renversent leur maître, l’acoolique Mr Jones, et reprennent le contrôle de leurs existences, ils imaginent le début d’une douce vie de liberté et d’égalité. Mais petit à petit, les cochons, à coups de manipulation, cupidité, orgueil, et mauvaise foi s’imposent sur leurs camarades, et les autres comprennent à leurs dépends que “Tous les animaux sont égaux, mais certains sont plus égaux que les autres”.

***

De George Orwell, je n'avais lu jusqu'à présent que son célèbre 1984. Alors que je n'étais encore qu'une jeune adulte, il m'avait fait forte impression.
Depuis quelques années, je me disais qu'il faudrait qu'un jour, je découvre sa non moins célèbre Ferme des animaux.
Lorsque j'ai su qu'une version audio en français venait d'être éditée - le mois dernier, donc tout récemment -, j'ai sauté sur l'occasion.
J'ai été agréablement surprise par la modernité de ce texte qui a tout de même 77 ans ! Cette fable animalière, satire des mondes totalitaires en général et du régime soviétique en particulier, se révèle à la fois simple d'accès et d'une vive intelligence. Ce très court roman se distingue par sa finesse d'esprit et son humour glaçant.
A l'instar de 1984, on termine la lecture en se disant : "et si...?". Un récit édifiant qui n'a pas vieilli et fait froid dans le dos. 
La leçon est magistrale. Un classique que je suis heureuse de connaître enfin.

Texte intégral lu par Arthur Teboul
Lizzie, 2022
Durée totale d'écoute : 03h18

Les charmes discrets de la vie conjugale (Douglas Kennedy)

vendredi 11 novembre 2022

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Le bonheur, Hannah l'a trouvé. Épouse de médecin, mère de famille, c'est une femme comblée. Le gentil garçon, rencontré à l'université et épousé au mépris de ses parents, s'est révélé un mari parfait.
Sa route a pourtant dévié, l'espace d'une nuit, des années auparavant. Celle qui sut passer entre les gouttes de la contestation politique des années 1970 se voit accusée aujourd'hui des agissements les plus subversifs. Alors qu'elle observe son existence sombrer dans l'anarchie, Hannah va prendre les armes...

***

Après avoir eu deux coups de cœur consécutifs pour Piège nuptial et pour L'homme qui voulait vivre sa vie, j'avais connu une déception avec le premier volet de La symphonie du hasard.
Concernant ce titre, je ressors mitigée des Charmes discrets de la vie conjugale. Déjà, il faut signaler que j'ai opté pour la version audio et que je n'ai pas aimé la voix et la manière de lire de Julie Pouillon, peut-être que cet élément a pesé dans la balance...
Pour être totalement franche, la première partie du roman (tout se qui se déroule dans le passé jusqu'à nos jours) m'a grandement ennuyée.
Bien entendu, il semble que tout cela ait été voulu puisqu'on qualifie ce roman de Emma Bovary à l'américaine, néanmoins c'était d'un ennui profond. Le personnage d'Hannah est très pénible, on a envie de la baffer à chaque page ou presque. Ses atermoiements à n'en plus finir ont eu raison de ma patience ! Du reste, j'ai trouvé sa personnalité peu crédible tant elle est ambivalente.
Bref, j'étais sur le point de jeter l'éponge lorsqu'est arrivée la seconde partie qui a su raviver mon intérêt.
J'ai retrouvé l'intensité dramatique de l'auteur qui dépeint admirablement la descente aux enfers d'Hannah. Il se passait enfin quelque chose, l'histoire prenait une tournure intéressante. 
Cette fin a donc compensé un peu mon désintérêt pour la première partie, mais hélas pas suffisamment pour me donner l'impression d'avoir lu un bon livre.

Texte intégral lu par Julie Pouillon
Lizzie, 2019
Durée totale d'écoute : 15h54

Anne et sa maison de rêve (Lucy Maud Montgomery)

vendredi 4 novembre 2022

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Jeunes mariés, Anne et le désormais « docteur » Gilbert Blythe découvrent leur premier foyer : une adorable maison nichée entre la baie de Four Winds, un fabuleux rivage de rochers ocre et un bois de sapins plein de murmures.
Toujours curieuse et passionnée, Anne va trouver entre les crêtes argentées, les embruns marins et la musique des vagues, les plus précieuses des âmes : Mademoiselle Cornelia et ses opinions tranchées, le merveilleux Capitaine Jim et ses mille histoires, ainsi que Leslie Moore, une beauté aussi froide que fascinante.
Une maison de rêve, c’est là où résonnent les conversations intimes et les rires de nos amis, c’est aussi le lieu où entouré d’âmes échouées et magnifiques, on peut combattre la douleur et retrouver l’espoir, un endroit d’où l’on repousse les ombres et où l’on accueille la vie.

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Cinquième opus de la série, et toujours le même plaisir de lecture.
C'est réconfortant de retrouver Anne et de la suivre au fil des ans, de la voir évoluer.
L'écriture (et la traduction) est vraiment magnifique, certains passages descriptifs sont de toute beauté.
L'humour est toujours présent, en particulier avec le personnage de Cornelia.
J'ai également beaucoup apprécié le personnage du capitaine Jim, particulièrement touchant.
Lire les aventures d'Anne, c'est se lover dans un cocon familier, un havre de paix d'une douceur bienvenue. Profiter du moment présent et rêver, se laisser porter.
Le bonheur, en somme.

Titre original : Anne's House of Dreams
Traduit de l'anglais par Laure-Lyn Boisseau-Axmann
Monsieur Toussaint Louverture (Monsieur Toussaint Laventure), 329 pages, 1917 pour l'édition originale et 2022 pour la présente édition française

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