005060582.jpgJ'en aurai mis du temps à poursuivre cette série ! Et pourtant, ce n'est pas faute d'avoir aimé le premier tome, car il m'avait fait grande impression !

Présentation de l'éditeur :

Toujours traqués pour leurs redoutables pouvoirs, Kassandre, Mina et Georges sont enfin parvenus à se réunir. Leur ADN mutant fait d’eux des génophores, des êtres aux pouvoirs terrifiants. Mafieux et scientifiques essayent de les capturer pour cette raison. Mais bientôt tout cela n’aura plus d’importance car Le Maître arrive… 

Nous retrouvons donc les personnages où nous les avons laissés, et dès les premières pages on replonge aussi sec dans l'action.
L'effet de surprise passé, ce deuxième tome a eu légèrement moins de saveur pour moi que le premier, celui de la découverte. Pourtant, j'ai passé un excellent moment avec ce nouvel opus qui s'est révélé hautement addictif. L'univers et les personnages campés par l'auteure sont d'une originalité folle. En résulte une expérience de lecture totalement immersive et dépaysante à souhait. 
Une série incontournable du genre.

Rouergue (épik), 384 pages, 2017

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(existe aussi en ebook)


005060635.jpgAu cours de ma lecture du deuxième tome, j'ai regretté d'avoir autant attendu avant de poursuivre cette série, aussi ai-je enchaîné dans la foulée avec le dernier volet de la trilogie. Finalement, je me dis que j'aurais dû lire les trois tomes d'affilée pour coller au rythme de l'écriture. J'ai en effet réalisé - tardivement - au cours de cette lecture, que l'essentiel du récit, c'est-à-dire l'action qui se déroule au temps présent, s'étale sur une très courte période, un mois à peine. Et donc, à l'image de cette course incroyable contre le temps, il me semble qu'il est préférable de lire la série d'une traite.
Dans ce dernier tome, l'histoire de départ s'étoffe et prend de nouvelles dimensions. On notera entre autres, un message écologique fort sous-jacent à l'intrigue du roman. L'aspect "mystique" (que je qualifie ainsi faute de mieux) prend aussi de l'importance, et curieusement, alors même que depuis le début, ce côté de l'histoire m'intéresse moins et me lasse un peu, j'ai trouvé qu'il y avait un parfait équilibre dans la construction du récit.
A plusieurs reprises, lors de ma lecture, j'ai repensé à la série Apocalypsis d'Eli Esseriam qui présente des similitudes avec Génération K
J'ai beaucoup aimé cette fin. Génération K est une très bonne série qui se démarque de ce que l'on peut lire habituellement dans ce genre. 
Et maintenant, il me reste à me pencher sur l'autre trilogie de Marine Carteron, Les autodafeurs !

Rouergue (épik), 368 pages, 2017

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(existe aussi en ebook)